Samed
i dernier, Carla Vizzotti a pris ses fonctions de nouvelle ministre de la santé, après que le président Alberto Fernandez ait demandé la démission à son prédécesseur Ginés González García, au milieu des remous institutionnels quand on a appris que des vaccins avaient été administrés à des fonctionnaires et journalistes sans passer par les listes d'attente.
L'accusation a été publiée par le journal Clarín, l'une des principales cibles des critiques du front au pouvoir contre la presse hégémonique, avec une liste de bénéficiaire du "vaccin Vip", dont le journaliste et éditorialiste Horacio Verbistzky.
C'est Verbistizky lui-même qui a raconté dans une émission de radio sa version de la façon dont il a obtenu le vaccin, en appelant l'ancien ministre qu'il connaît de longue date. Cette situation a incité le président Fernandez à demander des explications au sein de son cabinet. Enfin, il a demandé la démission de Gonzalez Garcia, qui, pendant ses trois mandats en tant que ministre, a vu ses réalisations saluées même par l'opposition tout au long de sa carrière.
La situation a explosé quelques jours avant que le président n'entame une tournée officielle au Mexique, pour participer aux célébrations du 200e anniversaire de l'indépendance de ce pays et, entre autres, pour visiter l'usine que le laboratoire Oxford-AstraZeneca possède dans ce pays.
La nouvelleu ministre, médecin spécialisée dans les maladies infectieuses, était responsable des annonces sur l'état de santé du pays en tant que secrétaire de l'accès à la santé.